Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
Le design a de nombreuses connotations. Faire du design c’est utiliser des matériaux et des processus de telle manière que leur organisation soit la plus productive et la plus économique possible et que tous les éléments nécessaires à une fonction donnée y soient intégrés de façon harmonieuse et équilibrée.
Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
Faire du design, c’est penser en termes de relations. C’est appréhender le cadre et le coeur des choses, les buts immédiats aussi bien que les buts ultimes, dans le sens biologique du terme en tout cas. C’est ancrer la spécificité d’une tâche dans une globalité complexe.
Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.
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Le design n’est donc pas une simple question d’apparence. Il renvoie en réalité à l’essence des produits et des institutions ; il exige une démarche à la fois pénétrante et globalisante. Il représente une tâche complexe qui nécessite d’intégrer aussi bien des critères technologiques, sociaux et économiques que des données biologiques et les effets psychophysiques produits par les matériaux, les formes, les couleurs, les volumes et les relations spatiales.
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Le designer doit être formé non seulement à l’utilisation de divers techniques et matériaux mais aussi à une réflexion concernant leurs fonctions organiques. Il doit savoir que le design est indivisible, que les caractéristiques internes et externes d’un plat, d’une chaise, d’une table, d’une machine, d’un tableau, d’une sculpture ne peuvent être disjointes. Il faut faire en sorte désormais que la notion de design et la profession de designer ne soient plus associées à une spécialité, mais à un certain esprit d’ingéniosité et d’inventivité, globalement valable, permettant de considérer des projets non plus isolément mais en relation avec les besoins de l’individu et de la communauté. Aucun sujet, quel qu’il soit, ne saurait être soustrait à la complexité de la vie et traité de manière autonome.
Le design est présent dans l’économie de la vie affective, dans la vie de famille, dans les rapports sociaux, dans l’urbanisme, dans le travail que nous faisons ensemble en tant qu’êtres civilisés. Finalement le grand problème qui se pose au design est qu’il doit servir la vie. Dans une société saine, cette exigence devrait avoir pour effet d’encourager toutes les professions à jouer pleinement leur rôle puisque ce sont les rapports qu’elles entretiennent entre elles qui donnent à une civilisation ses qualités particulières.
Cela implique donc que chacun s’acquitte de sa tâche avec la largeur de vue d’un vrai designer, c’est-à-dire en essayant toujours de l’intégrer dans un cadre plus vaste. Cela implique par ailleurs la disparition de toute hiérarchie entre les arts (peinture, photographie, musique, poésie, sculpture, architecture). Aucun domaine ne doit plus être privilégié, pas plus celui de l’esthétique industrielle qu’un autre. Chacun d’eux vaut par lui-même en ce que le design peut y accomplir la fusion de la fonction et du contenu.