Introduction
À travers mes recherches, je souhaite vous transporter dans un endroit loin des bruits et des actes graphiques excessifs. Il suffit de se balader dans le centre-ville de Pau, d’être attentif pour se rendre contre que notre œil est en permanence sollicité. Dans les terres du Béarn, perchés en hauteur, se trouvent des villages. Des lieux, si calmes que moi ayant vécu sur Bordeaux et Pau me demande : « Y a-t-il vraiment des gens qui vivent ici ? ». Tout part de cette hypothèse : s’il y a des populations en montagne alors, sont-ils eux aussi « bombardés de signes visuels » ? Pour vérifier cette hypothèse, j’ai pris pour objet d’étude le village de Lescun dans la vallée d’Aspe. J’y ai mené une enquête photographique et plans afin de me rendre compte du nombre des signes et de leurs fonctions.
Ce premier travail sera présenté ici de façon descriptive. Il s’agit de mettre de l’ordre dans la profusion des signes, de les organiser en catégories et de présenter leur dimension de lisibilité et de visibilité.
Ce document est donc un premier jet d’une analyse future plus dense.
Définitions
Définition de montagne
La montagne 1 n’a pas toujours été aussi fréquenté qu’aujourd’hui, c’était un milieu uniquement fréquenté par les militaires, les alpinistes, les explorateurs, les guides locaux, les populations montagnardes, les villégiateurs aisés. C’était un univers relativement fermé au grand public. Selon moi, il y a cinq points qui ont marqué la démocratisation de ces territoires :
- Juridiquement le droit aux congés payés pour les classes ouvrières, les semaines de congés ajoutés durant les trente glorieuses ont permis aux familles populaires de partir loin de chez eux. Les vacances à la mer deviennent les destinations privilégiées, et la montagne n’y échappe pas.
- Le développement des sports « outdoor » et l’arrivée de marques emblématiques (comme The North Face, Patagonia et Columbia) ont encouragé le grand public à expérimenter ce nouveau terrain de jeu.
- La venue d’Internet et des réseaux sociaux font exploser les contenus en lien à la montagne que ce soit des guides/des conseils et des forums amateurs/spécialisés.
- Les restrictions du confinement de 2020 n’a fait qu’amplifier l’envie de la population de s’émanciper de chez-soi et quoi de mieux que des paysages magnifiques à perte de vue.
- Et le sujet n’a jamais été aussi concret qu’à l’époque actuelle. En effet, on constate un questionnement de l’impact de l’homme. Cette prise de conscience a rapproché certains individus des milieux naturels.
Définition d’un acte graphique
Cette évolution de la présence des humains dans les montagnes pose des questions sur un système de retranscription de l’information commune afin de faciliter la compréhension par tous. Ce système se manifeste par des actes graphiques dans son sens le plus général, c’est-à-dire des éléments visuels/signes implantés par l’homme pour l’homme. Selon moi, les actes graphiques entretiennent un lien étroit avec la signalétique comme on l’entend aujourd’hui. Ces actes même très présents dans l’espace public restent malgré tout, des signes qui relèvent du micro système d’une société. Cependant, ce sont des indicateurs intéressants et importants qui permettent d’en dire beaucoup sur le fonctionnement de celle-ci (comprendre nos interactions, nos déplacements, notre consommation). Plus un espace se fait public plus les actes graphiques se font présents. Les signes sont partout, autour de nous. Ils sont polymorphes, on peut les toucher, les sentir, leur marcher dessus, les prendre en photo, etc. La signalétique nous paraît tellement naturelle qu’on la néglige. L’attention qu’on lui porte n’est pas égale à son utilité. Sans elle, nous sommes désorientés, perdus, désemparés. On erre sans savoir où aller. Mais peut-être que c’est son objectif nous donner une vague direction, pour nous permettre d’arpenter un espace sans a priori, afin de se laisser charmer par ce qu’il a à nous offrir. Quand on dit que tout est question de point vue, cela n’a jamais été aussi concret que dans un espace en trois dimensions. La signalétique prend tout son sens quand nous décidons en tant qu’être de lui donner de l’importance. Elle peut être présente partout et nulle part à la fois, elle se laisse dévoiler au fur et à mesure qu’on la cherche. Elle n’attend que ça finalement. C’est une notion que les gens peuvent s’approprier en générant de nouveaux signes par-dessus. La signalétique est comme une amie ou une mère qui nous éduque et nous guide sur la voie à prendre, les dangers que l’on encourt, ou les bons comportements sociaux à adopter.
Extrait du numéro trente de Graphisme en France 30e anniversaire, 2024 Consulter en ligne« La moindre de nos actions quotidiennes implique de coopérer avec des textes et des images. Chacune de nos pratiques, gestes et interactions implique une incroyable variété d’objets graphiques. Or à vrai dire, ces objets semblent si bien prolonger notre regard (vers l’objet vanté par la publicité, vers l’institution représentée par le logotype, vers la ville figurée par ce plan…), ils semblent si bien remplir leur rôle, que nous les remarquons à peine dans le flux continu de notre expérience du monde. Pour faire ce premier constat, il suffit d’adopter un instant le point de vue de Diane. Qu’a-t-elle vu ? Certainement pas du design graphique. Si nous l’interrogions à présent, Diane nous dirait probablement qu’elle a cherché son chemin, qu’elle a consulté des cartes, qu’elle s’est déplacées en métro, qu’elle a observé la ville, recueillie des informations pour comprendre où elle se trouvait… Il y a, entre ce récit et le mien, toute la différence entre l’expérience immédiate que nous faisons spontanément de notre environnement visuel, et la complexité des médiations dont cette expérience est cependant le produit. Si bien que ce texte doit commencer par un paradoxal exercice de mise au point, un exercice qui consiste à regarder ce que nous avons toujours tendance à ne pas voir, à observer ces objets » graphiques « qui, se soustrayant à notre regard au moment où nous les pratiquons, semblent bien disparaître en se socialisant. »
Hypothèse
Après avoir posé ces définitions, je me suis renseigné sur les types d’actes, que je pourrais retrouver en montagne. Ils sont nombreux, pour en faciliter la compréhension, j’ai décidé de les organiser dans de grandes catégories.2
1.Prévention
En montagne, les massifs, les végétaux et les animaux qui s’y trouvent sont impactés par les aléas météorologiques (prise au vent, température, neige, etc.). Mais il y a aussi un facteur qui a un réel impact sur ce territoire, c’est l’activité humaine. Afin de préserver ce territoire et d’assurer notre sécurité, l’être humain a instauré différents panneaux. Ces dispositifs avertissent les individus des dangers potentiels tout en contribuant à la protection de ces zones escarpées.
a. Le gibier étant très présent, des battues sont organisées régulièrement. Afin d’annoncer ses zones de chasses, les collectifs vont apposer des panneaux en bord de route.
b. La montagne regorge de ressources dont l’humain ne peut plus se passer (bois, charbon, électricité). Aux alentours de ses structures privées et publiques, nous pouvons retrouver une signalétique liée aux risques encourue autour de type de zones (éboulement, montée des eaux, etc.).
c. C’est aussi un espace très prisé par le corps militaire qui recherche un terrain avec du relief, éloigné de la civilisation. La montagne devient un espace d’entraînement.
d. Afin de protéger la flore et la faune, l’humain a défini des Parcs Nationaux, ce territoire est baliséSymbole des Parc Nationaux des Pyrénées..
e. Des actes graphiques à plus grandes échelles, visent à redonner de la vitalité aux paysages. Guillaume Bonnel en a relevé dans son ouvrage « les orthèses ». (je le cite car il fait échos à son intervention à l’école)
2.Indications
Les actes fait par la population ont un impact immédiat sur l’environnement tout comme la montagne sur la population.
a. Cet amas rocheux a toujours fasciné les artistes depuis le Romantisme, mouvement qui au XVIIIe siècle a transformé le paysage montagneux en symbole d’évasion et d’émotion
Le Voyageur contemplant une mer de nuages Caspar David Friedrich 1818.. Par la suite, cette fascination s’est articulé autour des œuvres monumentales avec le Land art. Mouvement qui est né dans les années 1960, qui utilisent la nature comme médium en soit, le Land art cherche à harmoniser l’art et l’environnement naturel. Dans nos sociétés plus contemporaines, on peut retrouver le collectif ROVO
exposition Contrairement au gibier Collectif ROVO 2017 Consulter en ligne. qui explore les liens entre les paysages montagnards et leurs signes graphiques spontanés ou vernaculaire. Grégoire Romanet va être une référence pour les expérimentations qui vont suivre au second semestre. Son édition « Hobby »
Hobby Grégoire Romanet 2022 Consulter en ligne.. fait liens avec le fait de faire signe grâce aux matériaux qu’on a sous la main.
b. Les touristes ont aussi le désir de marquer/inscrire de manière permanente ou éphémère leur passage sûr tel sommet/sentier. Cela peut se traduire par une gravure, un sticker, un cairn.Voici un cairn.
c. Parfois, les actes graphiques viennent entraver la lisibilité des signes plus importants inscrits par les boutiques, les gîtes, les restaurants, etc. Ces signes graphiques, déployés par ces commerces, sont indispensables pour guider et attirer les touristes.
d. La vie sur ses territoires pose des questions aux montagnard•es qui doivent faire face à l’isolement, l’absence de service public, le sur-tourisme. Ils expriment leurs mécontentements face aux décisions politiques éloignées de leurs réalités. Par exemple la réintroduction des prédateurs, le manque de soutien économique et des règlements environnementaux jugées (à juste titre) excessifs, qui s’est traduit par un retournement des panneaux à l’entrée des villages.
3.Influences
Pour les gens qui s’aventurent dans ces zones vastes, il est primordial d’avoir une signalétique limpide. Elle permet aux individus qui ne sont pas forcément familiarisés avec la montagne de pouvoir se repérer et circuler facilement.
a. En 1970 la signalétique de randonnée a subi une uniformisation des signes
Charte technique et graphiquedes GR (Grandes randonnées) Consulter en ligne qui était, à ce jour, propres à chaque région, on peut imaginer la présence d’un même signe qui viendrait définir les chemins/sentiers.
b. Outre la randonnée, les villages rencontrent les mêmes prérogatives que les villes en termes de balisage des rues, des routes, etc.
4.Historique
Les actes historiques viennent eux aussi baliser le territoire, mais sous une autre forme plus spirituelle :
a. À une certaine époque le balisage d’un territoire se faisait généralement par la présence d’acte religieux. Ces territoires en hauteur ont servi de refuge et de lieu de culte aux ermites. De par sa position en hauteur et son éloignement de la civilisation, cela devient un environnement propice à la spiritualité. De plus, la croix au sommet des pics permettait d’identifier une terre sainte, le point culminant de la montagne et elle servait de paratonnerre pour protéger les villages en contrebas.
b. Les actes commémoratifs que l’on peut classer en deux catégories ; ceux des morts accidentelles et historiques. La montagne, tout en étant un lieu de loisirs et d’aventures, présente des dangers significatifs qui peuvent parfois mener à des accidents tragiques. Ces incidents soulèvent des préoccupations concernant la sécurité des pratiquants, souvent mal informés sur les risques spécifiques de la montagne et affectés par la fatigue qui réduit leur vigilance. Malgré les avancées technologiques et l’amélioration des infrastructures, le risque demeure, et l’histoire témoigne d’un nombre élevé d’accidents mortels 3. Pour honorer la mémoire des victimes, leurs proches mettent en place des plaques commémoratives, dont l’évolution reflète des changements dans les pratiques et les mentalités.
Organisation
Choix du lieu
Pour répondre à cette hypothèse, je veux analyser les actes graphiques présents dans les Pyrénées. Ce territoire est intéressant, car il abrite un grand nombre de villages et de départs de randonnée. Cependant, je ne disposais pas d’assez de temps…
J’ai donc choisi de prendre comme marqueur de référence la vallée d’Aspe et plus précisément le village de Lescun. Étant proche du plateau de Sanchèse, réputé pour ses nombreux départs de randonnées et sa position centrale dans la vallée d’Aspes.Position géographique. Consulter en ligne Je suppose que les signes graphiques y sont très présents. De plus, le village de Lescun donne une impression d’être au cœur des montagnes donc on peut y retrouver tous les types de population (des vacanciers détentes, des amateurs comme des férus de randonnée) et des bâtiments divers. (Gîtes, refuges, bar, épicerie, restaurant, etc.)
Cette diversité tant dans les bâtiments que dans la population amène des besoins différents et donc des réponses graphiques singulières. La population vient dessiner et modifier le paysage, se sont selon Bernard Lassus de réel « habitant paysagiste »
Terme évoqué dans l’ouvrage Le Jardin Monde de Bernard Lassus aux éditions du Centre Pompidou, publié en 2017. Je vais donc m’appuyer sur mon enquête à Lescun pour faire une lecture des signes qui marquent son territoire.
Méthodologie
Jour de la sortie 10/11/2024 L’ambition était de faire une déambulation dans le village, puis d’enchaîner avec une randonnée qui m’amènerait sur le plateau de Sanchèse. Et comme rien ne se passe comme prévu, je n’ai pas eu le temps de faire la randonnée…
Départ → de Pau → à 8h30 Arrivée → à Lescun → à 10h
Départ → de Lescun → à 17h Arrivée → à Pau → à 18h30
En effet, contre toute attente, le village comprenait un très grand nombre de signes et son relevé (partiel) a pris tout le temps de cette journée. Afin de faire une analyse précise, j’ai défini un protocole de déambulation. J’ai décidé de procédé dans l’ordre suivant :
- Secteur Sud-Est
- Secteur Nord-EST
- Secteur Nord-Ouest
- Secteur Sud-Ouest
Cette méthode m’a permis de visiter le village dans son ensemble et dans ses moindres recoins. Sur le terrain, je me suis laissé surprendre à ne plus faire attention au plan, mais juste à déambuler plus librement. Avec du recul, la méthode que j’avais prévue avant de partir s’est avéré sur le terrain trop rigide. Ainsi, j’ai mixé ce qui avait été organisé et des prises de liberté. J’ai ainsi pu avoir une vision des signes plus proche de la réalité. Mon relevé se situe donc entre cartographie et collecte de signe. Ce relevé n’est pas exhaustif, cependant, il permet de rendre compte des signes dominants.
Sur le plan de ma déambulation, certains passages n’ont pas été arpentés, car soient ils sont bloqués au public, soit j’ai considéré trop éloigné du centre-ville.
Première récolte
Ces signes sont triés, dans l’ordre chronologique des prises. Cela vous permet de mesurer l’ampleur et la diversité des signes que j’ai pu relever durant la journée. Cette première exposition des signes vous permet d’avoir un regard libre, sur la manière dont la population et notre société communique. Ces échanges visuels ont une influence sur la proxémie 4 que ce soit à l’échelle d’individu, d’un village, ou d’une civilisation. Des anthropologues se sont penchés sur ces questions de distance sociale et de marquage du territoire. Ces actes graphiques nous montrent le fonctionnement d’un microcosme social dans l’espace.
Classification
Voilà pourquoi je n’ai pas eu le temps de faire la randonnée. Je ne m’y attendais pas et je pense que vous non plus. :) Après une vue d’ensemble, je vais procéder à une nouvelle classification. Elle porte cette fois-ci sur le contenu des actes graphiques. Je suis conscient que cette classification n’est pas complète, car certains des signes analysés peuvent être dans plusieurs catégories à la fois. Cependant, elle me permet de faire un pré-tri, j’ai établi une classification qui se base sur celle vue en amont avec une segmentation un peu plus fine.
Indications (120)
Entrées de maison (52)
Moulures (14)
Panneaux (14)
Autres (12)
Peinture (12)
Espaces (41)
Informatifs (23)
Routes (11)
Quartiers (7)
Randonnées (26)
Symboles (22)
Panneaux (4)
Vie et avis (89)
Établissements (78)
Commerces (31)
Gîtes (28)
Artisans (19)
Revendication (11)
Historiques (8)
Religieux (5)
Commémoratifs (3)
Préventions (4)
Dangers (3)
Préservations (1)
Indication/
Indication/Entrées de maison
Indication/Entrées de maison/Moulures
Indication/Entrées de maison/Panneaux
Indication/Entrées de maison/Autres
Indication/Entrées de maison/Peintures
Indication/Espaces
Indication/Espaces/Informatifs
Indication/Espaces/Routes
Indication/Espaces/Quartiers
Indication/Espaces/Randonée
Indication/Espaces/Randonée/Symboles
Indication/Espaces/Randonée/Panneaux
Vie et avis
Vie et avis/Établissement
Vie et avis/Établissement/Commerces
Vie et avis/Établissement/Gîtes
Vie et avis/Établissement/Artisants
Vie et avis/Revendication
Historique
Historique/Religieux
Historique/Commémoratifs
Préventions
Préventions/Dangers
Préventions/Préservations
Conclusion
Pour conclure, après cette balade, je suis passé à l’analyse de ces photos documentaires. Je me suis rendu compte de la cohérence graphique du village. Lescun forme une réelle unité graphique. La majorité des signes sont faits à la main, de la sculpture complexe au cadre en bois. Leur répartition géographique montre une continuité. Je n’ai pas eu l’impression de passer d’un village à un autre. C’est en grande partie dû aux panneaux des oiseaux et ceux des quartiers, ils viennent en quelque sorte baliser le passage. Ces signes sont assez discrets et se fondent parfaitement dans le paysage. En tant que village, il est important de laisser respirer les rues pour donner plus d’importance aux signes des GR. Ils jouent un rôle majeur pour les marcheurs, je n’imagine même pas suivre un symbole aussi petit dans les rues de Paris où même Bordeaux, où les individus sont perpétuellement stimulés visuellement. De plus du fait des rues étroites, on retrouve très peu d’actes plantés au sol ce qui rend la circulation bien plus agréable, on n’a pas besoin d’esquiver les panneaux en baissant la tête par exemple. Dans la grande majorité des cas, on peut constater que les signes à caractère informatif sont placés de manière stratégique pour être les plus identifiables possible malgré parfois une taille restreinte. Malgré la présence de nombreux signes graphiques, je me suis senti beaucoup moins sollicité. Les actes n’empiètent pas sur l’architecture et ne gâche pas les paysages. Ils sont discrets, fait à la main, cette méthode de production artisanale amène de la douceur, notre œil contemple ce qu’il a été produit et non.
Pour la suite du projet, je souhaite produire :
- Une édition papier qui vient rassembler l’ensemble des ressources présentes dans cette version normalisée
- Un site web interactif qui vient répertorier toutes les prises de vues et les classifications.
- Élargir cette classification aux matériaux utilisés.
Bibliographie – Sitographie
Bibliographie
Bertrand Gibert et Philippe Fermigier. « Relever la montagne, Panoramas et cartes des Pyrénées (1850–1930)
Bernard Lassus. « Le Jardin Monde ».Aux éditions du Centre Pompidou, 2017 Consulter en ligne
Caspar David Friedrich. « Les actes graphiques en montagne ». Peinture, huile sur toile, 1818 Consulter en ligne
Collectif ROVO. « L’exposition Contrairement au gibier ». Exposition au centre d’art et de design, La cuisine, en 2017 Consulter en ligne
FFRandonnée. « La Charte Officielle du Balisage et de la Signalisation ». Publié en 2019 Consulter en ligne
Fraenkel Béatrice. « Les écritures exposées Ecritures ». Publié en 1994.
Graphisme en France. « 30e anniversaire ». Édité par le Centre national des arts plastiques (Cnap), 2024 Consulter en ligne
Grégoire Romanet. « Hobby ». Publié par Robo Books, 2022 Consulter en ligne
Irma baptiste. « Les actes graphiques en montagne ». Édité en 2022
Sitographie
Association des camps du Québec. #11 La signalisation | Sentiers : repartir du bon pied. Consulter en ligne
Cairn info. Thierry Paquot | L’espace public dans la ville : vers quelle urbanité demain ? Consulter en ligne
Cité de l’architecture et du patrimoine. Bernard Lassus, paysagiste. Consulter en ligne
Dommaine de Chaumont-sur-Loire. L’habitant paysagiste carte verte à Bernard Lassus. Consulter en ligne
SNOSM. Accidentologie des sports de montagne. Consulter en ligne
Visorando. Préparer et partager ses randos. Consulter en ligne
Remerciements
Je tiens à remercier Corinne Melin pour son accompagnement sur ce projet tant dans la reflexion du projet que dans l’écriture. Et je remercie Maïlyss Maestre pour m’avoir accompagné en montagne afin de prendre les mesures, les prises de vues et les annotations sur le plan.
Une montagne se caractérise par une importante élévation de terrain. ↩︎
Je remercie Irma baptiste et son travail, qui m’a permis d’avoir une base de recherche importante via son projet de recherche « Les actes graphiques en montagne » édité en 2022 ↩︎
En 2023, 8080 interventions de secours en montagne ont été recensées, portant assistance à 9176 personnes, dont 204 ont perdu la vie. Consulter en ligne ↩︎
Notion créee par Edward T.Hall, qui renvoie notamment à l’étude de l’utilisation et l’organisation signifiante de l’espace dans les relations entre les êtres animés. ↩︎