Laformule pour le mécanisme de courroie : v 1 ⋅ r 1 = v 2 ⋅ r 2 v 1 ⋅r 1 =v 2 ⋅r 2
Cela montre comment la vitesse de la poulie 2 dépend de la vitesse de la poulie 1 et des rayons des poulies.
.
L'angle β est normalisé à 40°[11]. On voit qu'une courroie trapézoïdale permet de transmettre un couple plus important qu'une courroie plate .
Si la roue glisse sur la route, alors F=μkN.
Si la roue roule ,sans glisser, sur la route, alors 0 ≤ F ≤ μsN.
Dans tous les cas la force F s'oppose au mouvement relatif entre les deux surfaces.
p>L=2πr=2×3,1416×5=31,416cm
Forces et moments :
initialiser pour tout bras a: Q(a) := 0 N(a) := 0 boucle pour toujours: avec une probabilité ε: a := un bras au hasard sinon: a := une action qui maximise Q(a) R := récompense obtenue en tirant a N(a) := N(a) + 1 Q(a) := Q(a) + (R - Q(a)) / N(a)
.
Pour m'inspirer, je me suis tourné vers des émissions comme "Comment c'est fait", qui expliquent comment les choses sont fabriquées. Je suis aussi influencé par Jürg Lehni, un artiste qui utilise des robots pour dessiner, ce qui m’a donné l'idée de travailler avec des formes automatiques et de voir comment la machine pourrait produire de l'art.
Je pense aussi au travail de Jean Tinguely, un artiste qui a créé des machines en mouvement, qui sont à la fois des œuvres d'art et des performances. Ce côté ludique et créatif me pousse à imaginer une machine qui se construit elle-même. Enfin, je me suis inspiré de Rube Goldberg, connu pour ses machines très complexes, et du mouvement Op Art, avec ses illusions visuelles et géométriques.
En résumé, ce projet est une façon de montrer, à travers des formes simples et en mouvement, comment une machine peut être vue comme un processus en constante évolution, tout en étant une sorte de spectacle visuel.